Bon, le changement c’est pour quand ?

 

Certes, il est difficile de gouverner en ce début de 21ème siècle.

Notre monde connaît de tels changements qu’on ne parvient pas à distinguer si nous vivons une crise majeure ou si nous assistons à une mutation du monde. Sans doute les deux…

 

Par ailleurs, il y a trop de gens au chômage et de personnes dans la difficulté pour que les « gaspillages » ne deviennent pas insupportables, tout comme l’inaction (ou le manque de visibilité).

 

Il faut vraiment donner des gages dans ce sens, maintenant.

 

Les français, multiconnectés, sont parfaitement  au courant de la situation et prêt à des sacrifices pourvus qu’on mette fin à ce « mille feuille » indigeste et coûteux.

 

Le dernier reportage de Capital sur les dépenses publiques était édifiant !

 

Que nous avons bien fait de ne pas rejoindre la CREA Fabiusienne quand on voit combien sont éclatants les « gaspillages » et les doublons inefficaces.

 

Nous avions bien vu le piège qui nous aurait ammené à donner toutes nos capacités financières pour aider au développement de secteurs qui nous sont totalement étranger.

 

Plus que jamais, l’émergence d’une communauté du Pays de caux s’impose.

Pour avoir le « poids » de résister aux deux « mastodontes » qui se sont fait jour, au Havre et à Rouen.

De même, que régionalement, il nous faut concrétiser cette NORMANDIE unique qu’une écrasante majorité de normand souhaitent ;

Conscients, intuitivement ou par simple bon sens, que ce sera un atout majeur mondial pour notre économie, notre tourisme, notre développement.

 

Allez, y a du pain sur la planche ; prenons nous en main !